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Mon, 16 May 2005

Des Thaïs, des mains, une application, des sacs et trois portraits

oiseaux de cocoMako-chan, toujours pleine de ressources, nous a amenés à Yoyogi pour le festival Thaïlandais 2005. Outre les magnifiques sculptures dans des noix de coco ou dans des pastèques, les petits plats bien épicés nous attendaient pour la modique somme de 500 yens (pour la grande majorité) dans des stands bien organisés pour accueillir les visiteurs.

Très similaire à un matsuri japonais, ce petit festival a tout de même marqué la différence par la présence de jeunes Thaïlandais qui passaient très bien pour des Thaïlandaises et il faisait bon écouter les explications japonaises pour comprendre qu'ils s'agissaient bien de jeunes hommes...

mainsAprès le festival, nous sommes allés à l'Apartment Café à Omotesando, où Fred et moi avions l'habitude d'aller. J'en ai profité pour faire une série de photos de mains, que je trouve très expressives dans une conversation.

Les photos ont été prises à 800 ISO, et pourtant, on serait bien incapable de faire la différence avec du 200 ISO argentique... Il faut dire que la qualité des capteurs des appareils numériques s'est bien améliorée, ainsi que les algorithmes de réduction de bruit numérique. J'utilise pour ma part CaptureOne Pro pour convertir mes images RAW en TIFF puis JPG, avec les profiles de couleurs de Magne Nilsen, même si tout cela est payant (et cher!), car je me suis rendu compte que cela ne servait à rien d'avoir un appareil de qualité internationale et une optique non moins impressionnante, si au final, on n'a pas les bons outils pour restituer les couleurs ou la finesse de l'image, telle qu'elle les mérite.

mon sac est plus beau que le
tienFinalement, une dernière photo, que l'on pourrait appeler "mon sac est plus beau que le tien". Au passage, les gens de la sécurité du department store apprécie visiblement peu les gens qui prennent des photos à l'intérieur de l'immeuble. J'aurais dû me raser, je devais avoir l'air d'un terroriste.

Pour finir en beauté, une série de trois photos d'Eiko et de Mako-chan. Cette dernière étant trop timide pour voir les photos exposées publiquement, c'est avec pudeur que j'ai déposé les portraits dans la section privée de la galerie, à l'abri des regards indiscrets.

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